[00:00.00]90听音乐网 www.90T8.com [00:43.37]Olé Les belles étrangères à étrangler [00:52.75]Fichus Souleiado robes de chez Lacroix [00:57.73]Les pétasses au soleil des longs étés framboise [01:02.29]Posent leurs culs bronzés qu'un con honorera [01:07.22]Sur la pierre fatiguée des arènes nîmoises [01:14.32]Et puis pour une fiotte en ballerines noires [01:19.27]Qui arrose bientôt le sable d'un sang bovin [01:24.17]Se pâment sur l'épaule de leur mac d'un soir [01:28.84]Et mouillent la soie fine de leurs dessous coquins [01:40.02]Olé Les belles étrangères à étrangler [01:49.73]Les yeux plantés profond dans ceux du matador [01:54.63]Descendant quelquefois vers le membre latin [01:59.25]Serti comme une pierre dans le satin et l'or [02:04.36]Elles rougissent un peu et pensent Quel engin [02:11.19]Puis elles vont pieds nus dans leurs fragiles blouses [02:16.13]Par les ruelles chaudes quand la ville s'embrase [02:20.69]S'imaginent gitanes provençales andalouses [02:25.91]Toutes sont parisiennes pire encore niçoises [02:47.03]Olé [02:49.79]Les belles étrangères à étrangler [02:56.67]Les pétasses finissent dans quelque bodéga [03:01.68]Ecoutant Gipsy-King dansant et criant fort [03:06.39]Avant d'aller vomir toute leur sangria [03:11.31]Enfin dans le rétro poussiéreux [03:17.93]D'un camion de poubelles à l'aurore [03:23.44]Se remaquillent un peu
LRC动态歌词下载
[00:00.00]90听音乐网 www.90T8.com[00:43.37]Olé Les belles étrangères à étrangler
[00:52.75]Fichus Souleiado robes de chez Lacroix
[00:57.73]Les pétasses au soleil des longs étés framboise
[01:02.29]Posent leurs culs bronzés qu'un con honorera
[01:07.22]Sur la pierre fatiguée des arènes nîmoises
[01:14.32]Et puis pour une fiotte en ballerines noires
[01:19.27]Qui arrose bientôt le sable d'un sang bovin
[01:24.17]Se pâment sur l'épaule de leur mac d'un soir
[01:28.84]Et mouillent la soie fine de leurs dessous coquins
[01:40.02]Olé Les belles étrangères à étrangler
[01:49.73]Les yeux plantés profond dans ceux du matador
[01:54.63]Descendant quelquefois vers le membre latin
[01:59.25]Serti comme une pierre dans le satin et l'or
[02:04.36]Elles rougissent un peu et pensent Quel engin
[02:11.19]Puis elles vont pieds nus dans leurs fragiles blouses
[02:16.13]Par les ruelles chaudes quand la ville s'embrase
[02:20.69]S'imaginent gitanes provençales andalouses
[02:25.91]Toutes sont parisiennes pire encore niçoises
[02:47.03]Olé
[02:49.79]Les belles étrangères à étrangler
[02:56.67]Les pétasses finissent dans quelque bodéga
[03:01.68]Ecoutant Gipsy-King dansant et criant fort
[03:06.39]Avant d'aller vomir toute leur sangria
[03:11.31]Enfin dans le rétro poussiéreux
[03:17.93]D'un camion de poubelles à l'aurore
[03:23.44]Se remaquillent un peu